[Reportage] Walt Disney, l'homme qui a "influencé notre imaginaire"

OUI FM

26 octobre 2016 à 20h08 par Angèle Chatelier

Le musée Art Ludique (Paris) consacre une exposition à l'œuvre de Walt Disney dans L'Art des Studios Disney, le mouvement par nature jusqu'au 7 mars 2017. Walt Disney, le visionnaire ? Walt Disney, féministe ? Reportage.

Le musée Art Ludique (Paris) consacre une exposition à l'œuvre de Walt Disney dans L'Art des Studios Disney, le mouvement par nature jusqu'au 7 mars 2017. Walt Disney, le visionnaire ? Walt Disney, féministe ? Reportage.
Au départ, ils étaient neuf animateurs. De la sortie de Mickey Mouse: Steambot Willy en 1928 à Zootopie en février 2015, Walt Disney et son studio ont révolutionné le cinéma d’animation. Croquis, dessins, musiques et vidéos se mêlent dans l'exposition L'Art des Studios Disney, le mouvement par nature au musée Art Ludique à Paris pour raconter Walt Disney, "le visionnaire.OÜI FM a rencontré son commissaire d'exposition, Jean-Jacques Launier : http://podcast.ouifm.fr/REPORTAGE/REPORTAGE20161026_A.mp3
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Amener un lion en studio pour mieux le dessiner, partir en Chine pour en comprendre la culture : rien n'est fait au hasard dans les longs-métrages de Walt Disney. "L'avant-gardiste" a aussi créé des technologies innovantes pour l'époque, comme le son synchronisé, dès 1928. Fini l'orchestre qui joue devant les images, place à un son enregistré, directement diffusé en salle. Plus tard, avec l'arrivée de Pocahontas (1995) et de Mulan (1998), les princesses, transformées en héroïnes , troquent leurs robes roses contre des vêtements de combattantes. Rebelle du film éponyme, Judy Hobbs  le lapin de Zootopie et Elsa la Reine des Neiges deviennent des emblèmes du féminisme ou de la communauté LGBT. La recherche du prince charmant devient secondaire. Le commissaire Jean-Jacques Launier nous en dit un peu plus : http://podcast.ouifm.fr/REPORTAGE/REPORTAGE20161026_B.mp3 L'Art des studios Disney, le mouvement par nature au musée Art Ludique (Paris) à découvrir jusqu'au 7 mars 2017.

Propos recueillis par Angèle Chatelier